Top 4 : comment repérer le greenwashing des emballages ?
Le greenwashing, qu’il soit volontaire ou non, est désormais considéré comme une pratique commerciale trompeuse. Pourtant, des entreprises y ont encore recours ! Que ce soit dans les publicités ou sur les emballages, cette pratique courante est néanmoins très risquée. Par ailleurs, il est parfois difficile de repérer ses faux-engagements notamment dans les emballages. C’est pourquoi, notre courtier en imprimerie à Lyon et Marseille relaye les conseils de Citeo sur le sujet.
Quels sont les risques à faire du greenwashing ?
Tout d’abord, avant de savoir le repérer, il est important de connaître les lois et les réglementations qui encadrent le greenwashing.
La loi climat et résilience interdit aux entreprises, depuis le 1er janvier 2023, de communiquer sans preuve sur la neutralité carbone.
Lors d'un non-respect de la loi climat et résilience, les entreprises s’exposent désormais à deux ans d’emprisonnement et à 300 000 € d’amende. En outre, le risque est surtout de perdre en crédibilité et en confiance. En effet, si une entreprise ne tient pas ses engagements, elle risque de perdre des clients, des prospects, des employés ou des candidats. Car de plus en plus de consommateurs savent désormais repérer le greenwashing dans les emballages.
Les règles à suivre pour repérer le greenwashing dans les emballages
1- Ne vous fiez pas à l’aspect visuel de l’emballage...
L’une des techniques les plus utilisées pour piéger les consommateurs est d'apposer sur les emballages des codes graphiques et visuels liés à la nature. Il s’agit par exemple d’illustrations d’animaux, d’arbres ou de plantes. Mais aussi d’utiliser en abondance la couleur verte. Or, l’aspect visuel d’un emballage ne prouve rien concernant les engagements d’une entreprise.
2- Ni de ses mentions écrites...
Il en est de même au sujet des différentes mentions sur les emballages. Un produit “respectueux de l’environnement” ou “écologique” ne l’est pas forcément. La plupart du temps, ces phrases sont trompeuses et ne reflètent pas la réalité.
3- Et encore moins de ses labels et logos...
Par ailleurs, certaines marques utilisent des logos et labels auto-déclarés. Difficilement repérables, ils n’ont aucune valeur juridique et ne doivent pas être confondus avec ceux qui sont officiels comme l’écolabel européen ou encore la marque AB.
4- Vérifiez et trouvez les preuves !
En définitive, tant qu’il n’y a pas de preuves concrètes, vous ne pouvez pas vous assurer que le produit est vraiment écologique. C’est à la marque d’apporter de preuves tangibles concernant sa démarche et d’expliquer de manière très précise les mentions écrites et les labels.
La démarche de notre courtier en imprimerie à Lyon et Marseille
Chez Dominique Detreille Imprimerie, nous bannissons le greenwashing ! En effet, nous limitons au maximum l’impact de nos packagings, PLV et ILV sur la planète. Tout cela est possible grâce à leur recyclabilité, mais également suite à la mise en place de notre démarche RSE qui comprend le fait de :
Collaborer avec des sous-traitants français voire régionaux.
Intégrer la recyclabilité des produits dès leur conception.
Choisir des fournisseurs certifiés.
Utiliser des matériaux écologiques.
Être en veille des avancées du secteur.
D’ailleurs, pour en savoir plus sur nos engagements et sur nos produits, n’hésitez pas à contacter notre courtier en imprimerie à Lyon et Marseille.
Pour aller plus loin :
Si vous souhaitez vous tester, Citeo a mis en place un quiz sur son site web afin de vous aider à mieux déceler les mentions trompeuses des emballages.